Collection Jeunes – Vieux. Voyage De Noces (2/5)

- Regarde ma chérie, nous arrivons sur les côtes marocaines.

C’est par cette phrase alors que Claudine me serre la main m’enfonçant ses ongles dans le bras que nous atterrissons au Maroc avant de nous rendre à Essaouira sur la côte à quelques kilomètres de Marrakech pour notre voyage de noces.
Voisins dans l’avion et voisins dans le bus nous conduisant à notre hôtel El Médina 5 étoiles que nous rencontrons Michel et Michelle fait du hasard pour nos noms.
Rapidement Michel remplit une grande place dans notre séjour.
Dès le deuxième jour il nous fait découvrir les souks avant de nous promettre ceux de Marrakech bien plus impressionnant.
Le soir après une première exposition au soleil sur la plage il nous emmène en boîte.
La plage en février, bronzer en février, alors que ma belle-mère à qui Claudine a téléphoné pour lui dire que nous étions bien arrivés a dit qu’à Paris il faisait moins cinq et encore au soleil.

Dans cette boîte, je tombe de haut quand je vois Claudine sembler s’abandonner dans les bras de Michelle qui pourrait être sa maman.
Là je vais loin, Louise la cinquantaine elle aussi est une serrée du cul.
Fesse molle poitrine tombante un vrai repoussoir à bite.
D’ailleurs Paul son mari mon beau-père semble oublié qu’elle est sa femme car en plus de faire lit à part, il découche certains soirs.
Belle-maman elle, à part sa mère qu’elle va voir tous les week-ends à Blois, est d’un mortel ennui.
Tous les mercredis elle va à la messe à la chapelle non loin de chez elle et de chez nous car étant encore étudiants il nous est difficile de nous assumer.

- Rentrons par la plage, nous avons de la chance, il fait doux ce soir.

Nouvelle initiative de Michel cet homme cheveux poivre et sel d’un homme ayant vécu vient de m’avouer qu’ils étaient un couple libertin.
Nous marchons les pieds dans l’eau.
La plage est déserte quand Michelle pour une fois prend une initiative fort sympa au demeurant.



- Un bain de minuit ça vous dit même s’il est plus d’une heure.
Qui m’aime me suit.

Elle laisse tomber son fourreau blanc me montrant ce que je supputais, rien dessous.
Quand elle dansait serrée dans les bras de ma femme, aucune marque disgracieuse marquant la présence d’une petite culotte.
Quant aux seins, le décolleté pigeonnant quand elle se penchait nous montrait que jusqu’au nombril rien pour les entraver.

- Moi, j’y vais, Claude tu me suis ?

J’aime qu’elle se souvienne de mon existence, Claudine me montre des possibilités d’adaptation que j’étais loin de soupçonner.
Surtout vu l’éducation qu’elle a eue.
On va croire que j’en veux à ma belle-mère surtout qu’elle accepte de nous héberger alors que nous sommes pour quelques mois encore mineurs, mais je suis obligé c’est une vraie bigote.

- Les s vous penserez à vos prières avant de dormir.
- Oui maman, on y pense.

Je dis bigote, en voilà une preuve.
Mais revenons à notre plage.

Dans la clarté la lune au moment où elles courent vers l’eau, je vois que l’une et l’autre sont entièrement rasées.
Pour Claudine, je suis au courant, je fais la comptabilité depuis que nous avons décidé de nous unir et je vois ce que l’institut de beauté peut nous coûter.

- Va les rejoindre Claude, ces jeux sont terminés pour moi.

Chemise, pantalon, chaussures bien sûr et boxer, me voilà prêt à courir derrière les filles qui sont déjà entrain de s’asperger.
J’avais présumé de mes forces, l’eau en février, même sur la Côte atlantique au Maroc est loin des vingt degrés minimum que j’accepte en plein été.
Combien, quinze, seize degrés, trop bas pour moi, je rejoins Michel comprenant pourquoi il était resté sagement sur le sable encore chaud.
Du côté des filles, ce sont de vraies gamines, mais des gamines qui se prennent dans les bras se frottant les seins ce qui m’aide à bander.

Qui de Michelle ou de Claudine prend la bouche de l’autre et qui de l’une ou de l’autre place sa main sur les lèvres du vagin de l’autre.
Je bande, je bande à voir ma femme se gouiner avec une autre.

- Fiston, ta petite, semble bien hardi avec ma femme.
Es-tu sûr que c’est la première fois qu’elle a des rapports lesbiens avec une autre partenaire ?
Je t’ai dit que nous étions des libertins et des femmes dans les bras de Michelle, j’en ai vu des dizaines, je suis bien placé pour t’en parler.
Attention avec Michelle on a parlé de votre jeunesse et de votre amour loin de nous l’idée de mettre la zizanie dans votre jeune couple.
- Merci Michel, je lui en parlerais, nous nous sommes jurés de tout nous dire au fil des questions et des interrogations qui se feraient jour entre nous.

Je vois nos femmes qui récupèrent leurs robes, Claudine sa petite culotte et chaussure en main après que je me suis habillé nous prenons le chemin de l’hôtel.
Ma chérie vient se blottir dans mes bras, sa peau est glacée, j’ai bien fait de manquer de courage.

- Bonsoir pouvez-vous nous faire monter une bouteille de champagne chambre 69.

Inutile de chercher un signe avec le numéro de la chambre de nos amis, j’ignore même si ma petite connaît la signification de ces deux chiffres.

- Si je m’écoutais mes amis je vous dirais que vous avez un numéro de chambre prédestiné.
- Claudine, il faut que tu saches que dès la première fois où nous sommes venus, nous avions ce même numéro de chambre.
J’aime sucer Michel pendant qu’il me lèche la chatte.
Depuis tous les dix ans nous réservons assez tôt afin d’avoir cette chambre.
En espérant que vous comprendrez ce trait d’humour mes s.

Et dire que je viens de penser, vu son éducation que Claudine était incapable de savoir ce que représentent les chiffres formant un 69.
Dire que depuis que nous nous sommes dépucelés, je rongeais mon frein de la bousculer un peu dans nos rapports sexuels.

La rencontre avec nos amis aura été bénéfique pour notre couple.
Il y aura un avant et un après ce voyage à Essaouira.

- Claudine vient avec moi, nous allons dans la salle de bains j’ai du sable dans les pieds et même sur mon corps.
- Merci Michel, l’eau salée séchée tire ma peau.

Elles partent vers la salle de bains identique à la nôtre mais inversée.
Nous nous installons dans la partie salon dans les deux fauteuils quand on frappe.
Michel récupère le champagne les coupes sont déjà dans la chambre.
Certainement Michel avait prévu comme tout ce qu’il fond que nous finirions dans leur chambre à boire du champagne.
Mais avait-il prévu que j’entendes nos femmes faire les folles dans leur bain où elles doivent tremper.
Le bruit se calme, juste des frottements et des petits rires hystériques que l’on semble vouloir .

- Messieurs que pensez-vous de mon amie, elle est bandante.

Ce mot dans la bouche de cette belle femme est surprenant surtout dans celle de cet avocat ayant pignon sur rue à Paris.
Le cabinet « Michelle et Michel ».
Michelle en tête car c’est son père qui a créé le cabinet après-guerre et qui leur a laissé la place avec sa mère pour prendre leur retraite après avoir fini leurs études.
C’est pour éviter de ressembler à sa mère que Michelle a entraîné Michel vers le libertinage.
Serait-il possible que Claudine et moi prenions le même chemin par rejet de sa mère ?
Cette partie de leur vie jusqu’à ce jour, Michel a eu le temps de me la dire une coupe en main en attendant le retour de nos belles.

- Messieurs que pensez-vous de mon amie, elle est bandante.

Cette phrase, Michelle la prononce entrante nue dans la chambre Claudine devant elle qu’elle pousse comme si ma petite avait honte de se montrer à nous.

- Claude que penses-tu de cette guêpière rouge, par chance nous avons les mêmes mensurations.

Guêpière ras les seins et chatte au vent, ma chérie me fait bander comme sur la plage d’un simple regard sur ce couple inimaginable pour moi quand nous avons pris l’avion.

Sommes-nous dépassés par les événements par ce duo diabolique maniant le charme et les certitudes comme nul autre ?
Claudine est maquillée comme jamais, se rend elle compte que l’on dirait une pute.
Une pute comme femme, j’aime.

- Viens.

Impossible que celle qui prononce cette phrase soit la même que celle que je viens de traiter de pute.
Eh ! Si pourtant.
Elle roule sur le lit se retrouvant rapidement dans la même position que les chiffres en relief de la porte.
Comme je suis placé, la langue de Claudine en dessous Michelle est activée alors que celle de sa complice semble l’être tout autant.

- Claude enlève tes vêtements et va baiser Michelle, elle doit être chaude comme la braise.

La proposition est trop tentante sûre que Claudine a tout entendu et semble me pardonner de monter sur le lit de venir derrière notre amie.
Pardonner, quand c’est elle qui sort sa main et qui prend ma verge manquant de me faire éjaculer, la place dans la chatte de sa complice.
Nul doute que Claudine doit être une novice avec les sexes féminins quand je sens sa langue virevolter entre mes couilles et le clito de notre maîtresse.
Les femmes ont un orgasme commun en même temps que je décharge dans la chatte accueillante de notre hôtesse.
Nous nous affalons sur le lit pour reprendre notre souffle et moi pour détendre mes jambes.
Baiser dans la position de la grenouille derrière les miches de Michelle, c’est la première fois et ça demande une force dans les cuisses insoupçonnées pour moi.
Michel se lève, il bande encore sa verge sortie de son pantalon.
Il nous sert une coupe de champagne que nous dégustons.
Baiser ça donne soif.

- Claude, il faut que je t’avoue quelque chose, on s’est juré de tous se dire…

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